Outre son humour décalé et son sens de la camaraderie, lui ce qu’il aime c’est l’humain et les moutons à 5 pattes !
Il aime relever les défis les plus fous, échanger avec ses collègues et rire avec ses clients.
Sa devise : “Aller au-delà de ses limites c’est réaliser ses projets les plus fous !”
Rencontre avec Lui, Yann, chargé d’affaires chez SMTK !
Explique-moi ton parcours jusqu’à SMTK ?
Je viens de Lozère l’endroit le moins peuplé de France, et ça j’en suis fier ! Mais j’habite en Haute Savoie depuis l’âge de 4 ans. Jusqu’à mes 19 ans j’ai suivi un parcours scolaire avec des horaires aménagées pour faire du ski en compétition.
J’ai ensuite décidé de faire une pause pour passer un BTS Management des Unités Commerciales en alternance. Puis j’ai repris la compétition mais en Freeride sur le circuit du Freeride World Qualifier pendant 4 ans. J’ai dû arrêter parce que je n’arrivais plus à suivre financièrement et surtout m’entrainer par manque de temps.
Après avoir travaillé en tant que moniteur pendant les vacances scolaires et intérimaire le reste du temps, j’ai été pris dans un centre de formation spécialisé dans le domaine médical pour être conseiller en formation et responsable relations entreprises.
Puis je suis parti faire un petit tour du monde en solitaire pendant 4 mois afin de faire le point dans ma vie personnelle et professionnelle. Quand je suis rentré, une connaissance professionnelle d’SMTK m’a dit qu’ils cherchaient un nouveau chargé d’affaires. J’ai donc postulé et j’ai été pris.
Parle-moi de ta place chez SMTK. D’après toi en quoi est-ce différent d’un poste de commercial lambda ?
Nous ne sommes pas des commerciaux ! Enfin moi je ne me considère pas comme un commercial. Pour ma part nous sommes des technico-commerciaux. Nous sommes vraiment chargés de projets qui demandent de vraies connaissances techniques de A à Z.
Mon métier c’est de connaître les spécificités de chaque support, les caractéristiques de chaque machine, etc. pour savoir proposer des solutions adaptées aux demandes que je reçois. Étant donné que je ne suis pas là depuis longtemps, j’échange beaucoup avec l’atelier ou les autres chargés d’affaires pour m’adapter aux besoins des clients.
Ce que j’aime c’est ce côté humain, l’échange et me creuser la tête pour répondre à des projets fous afin que le rendu soit le meilleur possible. Je travaille comme si le projet devait être réalisé pour moi.
Quel type de défis fous aimerais-tu relever ?
C’est un métier varié, où chaque projet est sur mesure. Il faut s’adapter à la fois à la demande du client mais aussi aux contraintes techniques du métier et composer avec tout ça. Je dirais que ce que je préfère ce sont les projets pour lesquels il faut se creuser la tête, s’organiser, trouver des solutions d’impression, de pose, etc.
Pour ma première année, franchement, le dossier des télécabines du Grand Bornand c’était dingue ! Des projets comme ça j’en veux tous les mois, même si cela me demande beaucoup de travail et d’organisation avec toute l’équipe et le client. Il y a eu du stress, et de l’excitation et quand tu vois le rendu je suis fier de dire que c’est nous qui les avons réalisées et posées ! Bravo aux poseurs d’ailleurs car les conditions n’étaient pas simples avec le froid.
Après ce qui me plait vraiment c’est du « vrai » grand format ! Habiller des façades d’immeubles en ville, ou réaliser un covering total pour un avion ou un train. Ce genre de projet là, qui te fait prendre des risques, tenter de nouvelles choses et qui te permet d’apprendre, de t’améliorer et d’avoir cette petite montée adrénaline qui te pousse à aller au-delà de tes limites pour un résultat duquel tu peux être fier !