Bâche publicitaire, adhésif pour covering de véhicule, papier peint personnalisé, les matières souples et les adhésifs, ça le connaît et même très bien !
Passionné par l’impression numérique, il porte la casquette d’opérateur machine spécialisé en supports souples mais aussi d’infographiste prépresse pour la préparation de vos fichiers !
Rencontre avec lui, Anthony, opérateur machine mais pas que, chez SMTK !
Sa spécialité : Les supports souples et adhésifs
Raconte-moi un peu d’où tu viens et comment tu es arrivé chez SMTK ?
Je suis natif d’Albertville. Au départ je voulais m’orienter dans le marketing et la communication, j’ai donc passé un bac STG option marketing à la suite de quoi j’ai envoyé des dossiers pour faire un BTS en communication visuelle. Je n’ai pas été retenu pour mes premiers choix et je me suis retrouvé par hasard en BTS communication industrie graphique. C’est là que j’ai découvert l’impression.
Je connaissais les flyers, les affiches, etc. mais je ne m’étais jamais posé la question de comment c’était fait. La formation était plus tournée vers l’impression offset, mais à côté on apprenait pleins d’autres choses comme deviser et planifier une commande avec plusieurs ateliers, les cours de colorimétrie qui me servent aujourd’hui dans l’impression numérique, trouver des solutions adaptées aux demandes, etc. En deuxième année j’ai pris une spécialité PAO pour la préparation des fichiers et la création graphique.
J’ai trouvé un travail directement en sortant du BTS comme opérateur machine et prépresse dans une entreprise qui faisait de la reprographie mais qui avait une imprimante numérique à encres UV, une imprimante latex et une écosolvant. C’était une petite entreprise, ça m’a obligé à être autonome et à travailler sur plusieurs machines.
Au bout d’un an et demi, j’ai voulu aller voir plus loin et à cette époque SMTK cherchait un opérateur machine. J’ai donc postulé et j’ai été pris !
Parle-moi un peu de ton métier au sein de l’entreprise, de quoi tu t’occupes ?
J’ai été recruté pour m’occuper de l’impression numérique sur supports souples et adhésifs pour que le collaborateur qui gérait ça à cette époque puisse partir faire la pose des éléments de communication directement chez nos clients.
Mais je prépare aussi les fichiers en prépresse et je fais les poses en interne de tous les adhésifs, comme de l’adhésif contrecollé sur un panneau ou d’autres réalisations de ce type.
Qu’est ce qui te plaît dans ton travail chez SMTK ?
Déjà l’ambiance. Il y a une bonne ambiance de travail ! Après le fait qu’on doive être autonome et qu’on me fasse confiance. Je suis libre dans mon travail, je gère mon atelier, mon stock, les commandes aux fournisseurs, etc.
J’aime la structure de l’entreprise et le management qui est appliqué : tout le monde est autonome et sait ce qu’il a à faire.
En plus on me demande mon avis dans les choix de matières et de machines. J’aime que le travail soit bien fait et c’est toujours plus agréable de travailler avec des outils de travail de bonne qualité et que l’on connait.
J’aime aussi beaucoup conseiller le client, l’orienter et essayer de trouver la meilleure solution avec le chargé d’affaires par rapport à son projet.
Et puis j’aime le milieu de l’impression qui bouge régulièrement et qui demande de la réactivité donc tout est réunis pour que mon travail me plaise !
Et tes machines ?
J’aime beaucoup les HP Latex déjà pour leur aspect écologique et parce qu’en plus elles permettent une impression rapide et de qualité. Ce type de machine évolue très vite et on a une excellente relation avec Euromedia, notre fournisseur, qui est implanté dans la région. Ce sont des machines qui permettent plein d’applications différentes, de travailler beaucoup de supports.
Il y a aussi la Mimaki qui est vraiment géniale pour imprimer des photos ou des visuels très détaillés. Elle a une profondeur de couleurs et une précision au top. Elle possède également un outil de découpe ce qui permet de gagner du temps pour l’impression de flex pour la personnalisation textile ou d’adhésifs découpés à la forme.
Raconte-moi un projet qui t’a marqué ?
Oui ! Celui du covering du téléphérique Vanoise Express qui relie Peisey à La Plagne.
C’est le premier gros dossier sur lequel j’ai traité la préparation des fichiers, l’impression du visuel, créé par Jean-Charles de Castelbajac, et j’ai même aidé pour la pose sur place.
C’était une expérience très enrichissante !